23h10. Tout le monde dort à la maison, on ne sait jamais pour combien de temps. Envie de reprendre ces pensées du soir, alors voilà. Ton personnel quoi qu’on en pense. J’ai commencé un blog sous un autre nom pour la liberté de ton, mais ce sont des pinailleries. Le style s’affirme, peut-être pas pour le meilleur mais clairement on sent que ça vient. Influencé de toutes parts encore, et alors ? Envie d’argot un peu, du parler d’chez nous un peu aussi, d’mots crus de temps en temps, d’moins faire attention pour être au plus prêt de c’qui sort, sans filtre peut-être. C’est bon quand ça sort. Me rend compte que le policé, ce n’est pas trop pour moi, je m’ennuie sur ce ton là. Faut s’forcer parfois, c’est vrai mais alors ça ressemble à tout le reste et les tripes n’y sont pas. Verbe forcé, mal accordé. Ba !
La campagne de financement participatif de 7 Sorcières se termine bientôt. L’objectif final est là, à portée. Je suis content de ce côté là. Un autre dossier m’emmerde royalement. Ca traîne, ca pinaille, ca n’ose pas. Moi, ça me stresse et ne me convient pas. Me rend compte qu’il faut que je me concentre sur ce qui m’amuse. Basta du reste, trop de stresse pour pas assez de sous. L’anxiété a t elle un prix ? Je ne sais pas.
Plein d’envies, de projets, on essaie ici, on tâte là. Les choses avances, y a des différences avec avant, une sorte de réussite passagère. Ca nourrit. On s’dit qu’tout n’est p’tête pas pourri. Mais manque de temps, manque de focus plutôt. Plutôt qu’d’écrire ceci, écrire c’qui faut. Faire plutôt que dire.